Avant tout développement dans le fond, j’adresse mes remerciements à M. Sylvain Usher, directeur exécutif pour m’avoir donnée l’opportunité de m’exprimer, en ma qualité de présidente du REDFEPEA à l’occasion de la journée mondiale des Toilettes célébrée le 19 novembre dont le thème cette année porte sur «l’assainissement durable et le changement climatique ».
En effet, ces derniers temps, le changement climatique impacte considérablement la République de Djibouti notamment avec la survenance des inondations fréquentes et intenses qui ont causé des catastrophes majeures.
Le Ministère de l’Agriculture, de l’Élevage, de l’Eau et de la Pêche chargé des ressources
halieutiques en collaboration avec l’ONEAD et le REDFEPEA , le réseau djiboutien des
femmes professionnelles de l’eau et de l’assainissement célébreront cette journée mondiale
des toilettes en organisant des activités diverses .
En premier lieu, il convient de sensibiliser la population à se raccorder à un ouvrage d’assainissement durable et décent et de se munir d'un dispositif adéquat de lavage des mains.
Cette sensibilisation au regard de l’intérêt que revêt le lavage des mains pour la sureté des ménages, annihilera conséquemment les maladies liées au manque d’hygiène et favorisera ainsi, à long terme, l’espérance de vie de ces ménages.
En cela, comme la jeunesse est le meilleur vecteur de sensibilisation, nous faisons des établissements scolaires une priorité dans nos actions de sensibilisation surtout en ce temps de
pandémie COVID19, il est important de rappeler les gestes essentiels.
Mariam AHMED, Présidente du réseau Djiboutien des Femmes Professionelles de l'Eau et de l'Assainissement
Rien de plus stupéfiant que de voir qu’en Afrique, les mêmes personnes n’ayant pas accès à des toilettes se promènent la tête haute dans les communautés avec un smartphone en main…
Pourquoi le continent africain peine à relever le défi de l’assainissement? Tout simplement parce que la plupart des pays africains préfèrent investir des milliards dans la construction des routes et des réseaux de télécommunication que dans la construction de réseaux d’assainissements et/ou de toilettes aux normes ! Les pays africains ne comprennent-ils pas que les inondations, les sécheresses et la raréfaction des ressources en eau continueront d’avoir des répercussions sociales, sanitaires et environnementales catastrophiques mais surtout alarmantes pour la planète ?
En Afrique subsaharienne, plus des trois-quarts des populations ne disposent pas de toilettes adéquates et des centaines de millions de personnes pratiquent la défécation à l’air libre (en pleine nature, dans des sacs plastiques…) Elles contribuent inconsciemment à la prolifération de microbes, sources de contamination pour les habitants et cours d’eau avec comme vecteurs potentiels de transmission les insectes et les animaux.
Hélas, tout cela arrive au vu et au su des autorités, mais celles-ci ne sont pas les seuls témoins passifs de cette problématique de l’assainissement. Les médias, les associations, les professionnels du secteur, les consommateurs doivent ensemble faire le plaidoyer de l’assainissement (financements et solutions durables) pour que tous les citoyens africains aient un accès digne et sécurisé à des infrastructures d’assainissement.
Cette journée mondiale des toilettes se tient dans un contexte particulier de pandémie de la COVID 19, qui remet en cause la manière dont les défis de l’eau et de l’assainissement doivent être relevés.
En tant que leaders engagées du secteur de l’eau et de l’assainissement, nous les femmes du REMAFPEA, réitérons notre volonté à accompagner l’AAE dans sa quête de solutions africaines pour un accès durable à l’assainissement des plus vulnérables à savoir les femmes et les enfants.
Konaré Kadiatou Malinké, Présidente du Réseau Malien des Femmes Professionnelles de l'Eau et de l'Asssainissement
Le phénomène de changement climatique est une réalité en Côte d’Ivoire, comme dans le reste du monde. Même si Le pays semble ne pas encore être sérieusement touché par le phénomène en comparaison avec certains autres, la balance pourrait pencher à tout moment et mettre à mal l’économie du pays.
En effet, la croissance économique du pays repose en partie sur l’utilisation de son stock de ressources naturelles. Or Selon M. Pierre Laporte, le directeur des opérations de la Banque mondiale pour la Côte d’Ivoire, ces ressources auraient diminué de 26 % entre 1990 et 2014. Plusieurs phénomènes visibles confirment cette dégradation. Parmi eux figurent la déforestation et l’épuisement des réserves d’eau.
En ce qui concerne principalement, les ressources en eau fortement impactées aussi bien en quantité qu’en qualité, les actions de sauvegarde passent entre autres par la lutte contre toutes les formes de pollution et de façon particulière par une gestion adéquate des système d’assainissement.
Avec plus de 80% de la population ayant recours au système d’assainissement autonome, il revient à chacun individuellement ou de façon collective, à travers nos ménages, entreprises de vidange ou par l’intervention des organismes et institutions de promouvoir :
- la réalisation et l’entretien d’ouvrages d’assainissement adaptés notamment les toilettes, les fosses septiques ;
- un système de collecte et de transport sécurisé ;
-la mise à disposition et le bon fonctionnement d’unités de traitement dédiées.
Avec nos cultivateurs, allons encore plus loin en valorisant le produit de nos toilettes en engrais pour stimuler sans risques l’agriculture, réduire et capturer les émissions de gaz à effet de serre.
En effet, Une étude récente publiée par la Soil Association révèle que La conversion au bio permet de séquestrer dans le sol, en moyenne, entre 400 et 500 kg de carbone, soit environ 1650 kg de CO2, par hectare et par an. Aussi, suffirait-il de séquestrer 200 kg de carbone par hectare et par an dans toutes les terres cultivées pour compenser la totalité des émissions de gaz à effet de serre.
Ainsi, la séquestration de carbone dans le sol apparait comme une clé importante dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Ensemble faisons de nos toilettes des moyens de préservation de la vie
Avec nos toilettes préservons nos ressources naturelles et créons de la richesse dans une économie circulaire.
« Les femmes doivent se lever pour la cause de l’assainissement.
Il y va de leur vie et de celle de leurs enfants.
S’investir dans l’assainissement durable est porteur de développement,
offre de nombreuses opportunités et contribue à sauver la planète. »
Géraldine MPOUMA LOGMO
Présidente de l'Association des Femmes Professionnelles de l'Eau et de l'Environnement du Cameroun
Les gens rougissent quand les femmes commencent à parler de merde et de caca en public. On m'a demandé plusieurs fois pourquoi il faut parler des toilettes dans les réunions ou en public. Nous en parlons à cause des 4,2 milliards de personnes qui vivent sans accès à des installations sanitaires gérées en toute sécurité. La plupart des ménages africains vivant dans des communautés à faibles revenus, des bidonvilles et des zones rurales n'ont toujours pas de toilettes chez eux et sont obligés de partager les toilettes avec d'autres ménages. Ils dépendent des toilettes publiques où l'on peut distinctement capter l'odeur des matières fécales ou déféquer ouvertement.
Le droit à un assainissement propre et sûr est, au cœur, le droit de chaque individu à une meilleure santé et à la dignité humaine. Il est également fondamental pour une société plus saine et plus sûre, car il permet aux gens de se débarrasser de leurs déchets de manière appropriée... Lire plus
Faustina BOACHIE
Présidente des Femmes Professionnelles de l'Eau, de l'Assainissement et de l'Hygiène, Ghana
A l’occasion de la journée mondiale des Toilettes, il convient de sensibiliser la population à se raccorder à un ouvrage d’assainissement durable et décent et de se munir d'un dispositif adéquat de lavage des mains ; toute chose qui annihilera conséquemment les maladies liées au manque d’hygiène et favorisera ainsi, à long terme, l’espérance de vie de ces ménages. Cette sensibilisation au regard de l’intérêt que revêt le lavage des mains pour la sureté des ménages, annihilera conséquemment les maladies liées au manque d’hygiène et favorisera ainsi, à long terme, l’espérance de vie de ces ménages. En cela, comme la jeunesse est le meilleur vecteur de sensibilisation, nous faisons des établissements scolaires une priorité dans nos actions de sensibilisation surtout en ce temps de pandémie COVID19, il est important de rappeler les gestes essentiels... Lire plus
Mariam AHMED
Présidente du Réseau Djiboutien des Femmes Professionnelles de l'Eau et de l'Assainissement
Rien de plus stupéfiant que de voir qu’en Afrique, des personnes n’ayant pas accès à des toilettes se promènent fièrement dans les communautés avec un smartphone en main…
Pourquoi le continent africain peine à relever le défi de l’assainissement? Tout simplement parce que la plupart des pays africains préfèrent investir des milliards dans la construction des routes et des réseaux de télécommunication que dans la construction de réseaux d’assainissements et/ou de toilettes aux normes ! Les pays africains ne comprennent-ils pas que les inondations, les sécheresses et la raréfaction des ressources en eau continueront d’avoir des répercussions sociales, sanitaires et environnementales catastrophiques mais surtout alarmantes pour la planète ?
En tant que leaders engagées du secteur de l’eau et de l’assainissement, nous les femmes réitérons notre volonté à accompagner l’AAE dans sa quête de solutions africaines pour un accès durable à l’assainissement des plus vulnérables à savoir les femmes et les enfants... Lire plus
KONARE Kadiatou MALINKE
Présidente du Réseau Malien des Femmes Professionnelles de l'Eau et de l'Assinissement
Avec plus de 80% de la population (ivoirienne) ayant recours au système d’assainissement autonome, il revient à chacun individuellement ou de façon collective, à travers les ménages, entreprises de vidange ou par l’intervention des organismes et institutions de promouvoir :
- la réalisation et l’entretien d’ouvrages d’assainissement adaptés notamment les toilettes, les fosses septiques ; - un système de collecte et de transport sécurisé ; -la mise à disposition et le bon fonctionnement d’unités de traitement dédiées.
Ensemble faisons de nos toilettes des moyens de préservation de la vie... Lire plus
Julienne SIE PALE
Présidente de l'Association Nationale Toilettes pour Tous, Côte d'Ivoire
Sous la menace du changement climatique, la protection des infrastructures d’eau,
d’hygiène et d’assainissement est plus que jamais de la responsabilité de tous,
pour la santé et le bien-être de nos populations et celui des générations futures.
Mouminatou ADJIBI
Présidente du Réseau Béninois des Femmes Professionelles de l'Eau et de l'Assainissement
L'AAE est engagée à assurer l'accès universel à un assainissement durable et à la protection du climat.
Faites passer le message SVP!
L’Association Africaine de l’Eau organise lors des sessions de son Conseil Scientifique et Technique (CST) des Journées Portes Ouvertes (JPO). Les JPO consistent en l’organisation d’une mini exposition, variant entre 10 et 20 stands, et des conférences lors de la grande plénière de l’ouverture des travaux du CST.
Le bureau du CST, fortement mobilisé et impliqué dans l’organisation de toutes les étapes des JPO, a décidé d’en faire une vitrine pour l’amélioration constante de l’image de l’AAE à travers l’Afrique et le monde. L’édition présente est matérialisée par 02 conférences techniques et un atelier sur les technologies d’innovation. Elle se tient en ligne du fait de la crise sanitaire actuelle
L’Association Africaine de l’Eau invite la communauté des acteurs du secteur de l’Eau et de l’Assainissement aux 85èmes assises du Conseil Scientifique et Technique qui se tiendront du 16 au 18 novembre 2020, en visioconférence, sous le thème : Défis et opportunités des crises sanitaires sur l’atteinte de l’objectif 6 des ODD: quelles Stratégies de l'AAE pour accompagner les réponses en Afrique.
Membres de l’AAE, décideurs, politiques, municipalités, experts, ONG, fournisseurs de technologies, vous êtes tous attendus.
Marquez vos agendas pour être présents à ce rendez-vous d’échanges autour des enjeux de l’eau et de l’assainissement au plan Africain.
Lien d’inscription : 85ème CST de l'AAE
Doter les municipalités/communes d’un outil stratégique pour évaluer elles-mêmes leurs besoins en renforcement de capacités institutionnelles, c’est l‘un des objectifs recherchés par le projet Eau, Assainissement et Hygiène pour les municipalités en Afrique de l’Ouest (MuniWASH). Avec leurs capacités institutionnelles renforcées, les mairies disposeront de plus de compétences et d’autonomie pour proposer leurs suggestions au sein des sphères de prises de décision de haut niveau en charge de la planification, budgétisation, gestion, régulation et suivi des services d’eau et d’assainissement. Cette nouvelle dynamique de coopération pourrait être le gage d’une collaboration réussie entre les municipalités et le gouvernement central. Ainsi, au terme d’un processus participatif et transparent, huit municipalités/communes au Bénin et également en Côte d’ivoire, ont été retenues pour bénéficier dudit projet dont la vision principale est d’aider les administrations municipales, les directions et agences nationales, les fournisseurs d'accès et les prestataires de services pour une amélioration des services d'eau, d'assainissement en incluant les populations pauvres et vulnérables.
Ce projet d’une durée de 5 ans a débuté en septembre 2019. Il est financé par USAID et mis en œuvre par Tetra Tech au Bénin et en Côte d’Ivoire. Au nombre des quatre résultats intermédiaires du projet figure, l’amélioration de la gouvernance municipales et des capacités de gestion des acteurs municipaux du secteur de l'eau et de l'assainissement. Pour y parvenir, MuniWASH va doter les 16 municipalités/communes cibles d’un outil dénommé l’Indice de Renforcement Institutionnel.
Cet Indice de Renforcement Institutionnel propose une méthode d’évaluation de la capacité des organisations à partir de l’analyse partagée de fonctions essentielles et non exhaustives que sont : les ressources humaines/ compétences du personnel, les politiques et procédures, les installations/équipements et technologies, l’engagement citoyen et enfin les systèmes et processus. Cette approche innovante permet d’effectuer un diagnostic des capacités institutionnelles des municipalités/communes à travers une démarche d’auto-évaluation des fonctions de la maîtrise d’ouvrage communale, relatifs au secteur Eau, Assainissement et Hygiène. L’outil permettra aux municipalités/communes d’avoir une indication fiable de l’état d’évolution de leur structure organisationnelle afin de déterminer leurs lacunes et définir par conséquent, un plan de renforcement des capacités fondées sur les écarts réels constatés et identifiés par elles-mêmes.
Avant la phase de déploiement à grande échelle, l’équipe du projet MuniWASH a été formée ce mardi 11 août 2020 sur cet outil. Cette formation a enregistré la participation des représentants de l’USAID et des ministères techniques, ainsi que des représentants des organisations communales du Bénin et de la Côte d’Ivoire à savoir l’Association Nationale des Communes du Bénin et l’Union des Villes et Communes de Côte d’Ivoire. Ceux organisations faitières des communes pourraient jouer un important rôle en matière de mobilisation des communes pour s’inspirer de l’expérience mise en œuvre au sein des 16 municipalités/communes cibles du projet. La formation qui s’est déroulée en ligne a été dispensée par Sarah LEDDY, consultante internationale spécialisée dans le renforcement des capacités et la gouvernance visait à outiller l’équipe du projet MuniWASH et les acteurs clés d’implémentation à la compréhension et à l’exploitation de cet outil.
‘’L’Indice de Renforcement Institutionnel n’est ni un audit ni une évaluation de la qualité des services fournis par la mairie, mais il évalue plutôt la capacité interne pour les rendre’’ a clarifié la consultante Sarah LEDDY. Cette étape de formation préalable sera suivie d’une phase pilote avec une commune avant de s’étendre à l’ensemble des 16 communes cibles au Bénin et en Côte d’Ivoire. Les données seront collectées au moyen d’entretiens avec les Maires et leurs adjoints, les membres des conseils municipaux, le personnel des mairies et les organisations de la société civile qui militent pour les questions relatives à l’accès à l’eau et l’assainissement dans chacun des deux pays.
Le Directeur Exécutif de l’Association Africaine de l’Eau (AAE) a le regret de vous informer du rappel à Dieu, de Monsieur Marcel Zadi Kessy, père fondateur de l’AAE, dont le décès est survenu dans la nuit du mercredi 13 au jeudi 14 octobre 2020, à Abidjan, suite à une longue maladie.
Monsieur Zadi Kessy Marcel était Président du Conseil économique et social de Côte d’Ivoire de à 2011 à 2016. En côte d’Ivoire, son nom rime avec le Groupe de la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE) et la Société de distribution d’eau de Côte d’Ivoire (SODECI) qu’il a intégré en 1970. Après avoir occupé successivement les fonctions de chef de service, de Directeur de département, de Directeur Général Adjoint et de Directeur Général, Marcel Zadi Kessy devient Président Directeur Général (PDG) de la SODECI en 1985. En 1990, à la création de la compagnie Ivoirienne d’Électricité (CIE), lors de la privatisation du secteur électrique ivoirien, Marcel Zadi Kessy en devient également le Président Directeur Général. Il a cumulé ainsi pendant plus de dix ans, les fonctions de PDG des deux sociétés, puis en 2002, il est devenu Président des Conseils d’administration des deux entreprises.
Monsieur Marcel Zadi Kessy est Président Fondateur de l’Union Africaine des Distributeurs d’Eau (UADE), devenue Association Africaine de l’Eau (AAE).
Le Directeur Exécutif de l’AAE présente ses sincères condoléances à la famille biologique ainsi qu’à la famille professionnelle de Monsieur Zadi.
Pour signer le livre de condoléances, veuillez cliquer ici
Du 07 au 08 octobre 2020 à Abidjan, en Côte d’Ivoire, l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO) a convié à un atelier de validation des représentants de la Commune du Plateau, des Ministères du secteur eau, assainissement, environnement et santé, de régulateurs, des opérateurs de l’eau et de l’assainissement, des laboratoires d’analyse de la qualité de l’eau, des universités nationales, des instituts et centres de recherche, des organisations internationales, des bailleurs de fonds et la presse.
Cet atelier avait pour objectif de Valider la note conceptuelle de l'Observatoire National de la qualité des eaux en Côte d'Ivoire. L'Association Africaine de l'Eau (AAE) était représentée par M. Gilles Djagoun, Coordinateur Sénior du Programme Eau en charge du programme de renforcement des capacités de l’AAE (AfriCap).
Etape importante dans la démarche d’implication des parties prenantes du secteur de l’eau et de l’assainissement, cet atelier fait partie du processus facilité par l'UNESCO en vue de la mise en place d’un Observatoire National de la qualité des eaux en Côte d’Ivoire. Après diverses présentations, travaux de groupes et échanges, les participants à travers leurs échanges ont contribué à l’amélioration de la version provisoire de la note conceptuelle pour la mise en place d’un observatoire de la qualité des eaux en Côte d’Ivoire, élaboré un projet de plan d'action et de stratégie de mise en œuvre pour la mise en place de l’observatoire (activités, calendrier, acteurs clefs et rôle), proposé des partenaires clefs, des donateurs potentiels, des orientations en vue de la mobilisation des fonds et formulé les prochaines étapes pour la mise en place dudit observatoire.
Pour de plus amples informations veuillez contacter : M. YEYE, Ange Boni Joachim, Consultant Programme Sciences, UNESCO, Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.