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Nzickonan Stéphanie

Nzickonan Stéphanie

Nous sommes ravis de vous annoncer que les inscriptions pour les 94es Assises de notre Conseil Stratégique et Technologique qui se tiendront du  sont à présent ouvertes.

Vous pouvez vous inscrire en cliquant sur le lien :  https://meetings.afwasa.org

Notez que votre code membre sera nécessaire pour votre inscription. Si vous ne vous en souvenez plus, veuillez écrire à mlawson@afwasa.org

Pour les informations relatives au voyage en Ouganda, veuillez cliquer sur le lien https://www.visas.immigration.go.ug/#/apply

Nous sommes impatients de vous retrouver pour de fructueux travaux;

Téléchargez l'agenda ici

Renforcement de capacités en Assainissement : des membres de l’AAEA à l’école de l’Office National de l’Assainissement du Sénégal

Dans le cadre de sa mission de renforcement des capacités des opérateurs d’eau et d’assainissement pour une meilleure fourniture des services à la population, l'Association Africaine de l'Eau et de l'Assainissement (AAEA) organise, du 29 au 31 octobre 2024, une visite de benchmarking à l’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS). Cette visite bénéficie aux membres de l’AAEA originaires du Niger, du Ghana, de la République de Guinée et du Togo.

L’objectif de cette initiative est de favoriser le partage de connaissances entre l’ONAS et les participants, de mettre en lumière les meilleures pratiques qui positionnent l’ONAS comme leader africain en gestion de l’assainissement, et de recueillir des informations utiles pour améliorer les services d’assainissement dans les pays respectifs des participants. La délégation est composée d’une vingtaine de professionnels de l’assainissement représentant des ministères, municipalités, vidangeurs et experts locaux.

L’agenda de l’activité prévoit des séances de travail en salle et une visite de terrain.

Lors des séances de travail en salle, des présentations seront faites sur l’état de l’assainissement au Sénégal, les missions de l’ONAS, les progrès réalisés, les défis rencontrés, ainsi que les stratégies de résolution et perspectives d’amélioration. Les participants auront également l’occasion de présenter la situation de l’assainissement dans leurs propres villes, suivie d’échanges visant à mieux comprendre les contextes locaux et à développer des plans d’action adaptés.

La visite de terrain quant à elle, permettra aux participants de visiter directement les infrastructures d’assainissement, d’explorer les technologies utilisées et de constater l’application des concepts discutés en salle.

Notons que cette visite de benchmarking s’inscrit dans le cadre du Programme de renforcement des capacités de l'AAEA et des opérateurs africains pour l’assainissement inclusif à l’échelle urbaine (SAO-CWIS), financé par la Fondation Bill et Melinda Gates et l’USAID.

Le 15 octobre, nous célébrons la Journée mondiale du lavage des mains, une occasion de souligner l’importance cruciale de ce geste si simple et pourtant si vital pour notre santé. Le thème de cette année, "Pourquoi est-il important de se laver les mains ?", nous invite à réfléchir à l'impact immense que cette habitude peut avoir sur la prévention des maladies et la protection de nos communautés.

Le non-lavage des mains est l'une des principales causes de maladies diarrhéiques dans le monde et parmi les principales causes de mortalité infantile en Afrique. Des études montrent qu'en Afrique subsaharienne, seulement 15 % à 25 % des personnes lavent régulièrement leurs mains avec du savon après être allées aux toilettes ou avant de manger, bien que cela puisse réduire les infections diarrhéiques de 40 % et les infections respiratoires de 21 %. Face à cette situation alarmante, l'Association Africaine de l'Eau et de l'Assainissement (AAEA) s’engage activement à promouvoir les bonnes pratiques d’hygiène à travers des campagnes de sensibilisation à grande échelle et des initiatives pour améliorer l’accès à l’eau propre et aux installations sanitaires à travers le continent.

Le lavage des mains avec de l’eau propre et du savon est la première ligne de défense contre la transmission des infections. En effet, nos mains sont quotidiennement en contact avec de nombreuses surfaces, objets et personnes, accumulant ainsi des millions de germes. Ces microbes, invisibles à l’œil nu, peuvent provoquer des maladies graves comme la diarrhée, la grippe, le choléra et plus récemment, la COVID-19. Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), 80 % des infections se propagent par les mains. Ce chiffre révèle à quel point ce geste simple peut être un bouclier contre la contamination.

Le lavage des mains est particulièrement essentiel dans des environnements vulnérables comme les hôpitaux, les écoles, ou encore les cuisines. Pour les enfants, se laver les mains régulièrement réduit de façon significative le risque de diarrhée et d’infections respiratoires, principales causes de décès infantile dans certaines régions du monde. Pour les adultes, ce geste permet non seulement de protéger sa propre santé, mais aussi celle des personnes plus fragiles autour de nous : les personnes âgées, les malades ou encore les femmes enceintes.

Au-delà de la protection individuelle, se laver les mains est un acte de solidarité. En rompant la chaîne de transmission des microbes, nous contribuons à maintenir nos communautés en bonne santé, à alléger la pression sur les systèmes de santé et à réduire l'absentéisme dans les écoles et les lieux de travail. C’est un geste universel qui transcende les frontières, les âges et les cultures. L’AAEA, consciente des enjeux, travaille sans relâche avec les acteurs du secteur de l’eau et de l’assainissement pour garantir que chacun, en particulier dans les zones rurales et périurbaines, ait accès à des installations de lavage des mains adéquates et au savon.

Cependant, il est important de se rappeler que le lavage des mains ne se résume pas à un simple rinçage rapide sous l’eau. Il doit être fait correctement, en frottant toutes les parties des mains pendant au moins 20 secondes, avec du savon. Cette attention au détail fait toute la différence dans l’élimination des germes.

En cette Journée mondiale du lavage des mains, l’AAEA souhaiterait que nous fassions de ce geste un réflexe quotidien, non seulement pour nous-mêmes, mais aussi pour protéger ceux que nous aimons. Ensemble, en adoptant cette simple habitude, nous pouvons construire un avenir plus sain et plus sûr pour tous.

Lavez-vous les mains, sauvez des vies !

Olivier Gosso, 

Directeur Exécutif de l'AAEA

 

C'est avec plaisir que nous vous informons de l'ouverture des inscriptions pour le 22e Congrès International et Exposition. Cliquez sur le lien ci-dessous pour vous inscrire dès maintenant !

https://www.afwasa2025.org/

L’Association Africaine de l’Eau et de l’Assainissement (AAEA) prendra part à la 9ème Semaine Africaine de l'Eau qui se tient du 13 au 17 octobre 2024 au Caire en Egypte. Le thème de cette édition est ‘’Placer l'eau et l'assainissement au cœur de la réalisation de l'Agenda 2063 : L'Afrique que nous voulons.’’

L'objectif principal de cet événement est d'évaluer les progrès réalisés dans la mise en œuvre de la Vision Africaine de l'Eau (VAE) 2025, dont l’échéance arrive bientôt à terme. Cette rencontre guidera la formulation de la Vision Africaine de l'Eau post-2025, en s'appuyant sur les réalisations, les leçons apprises et les questions émergentes de la poursuite de la VAE 2025.

L'Association Africaine de l'Eau et de l'Assainissement (AAEA) est représentée à ce grand rendez-vous par Dr. Siméon Kenfack, Directeur des Programmes, qui interviendra lors de plusieurs sessions essentielles, selon le programme ci-après. 

o Sessions organisées par l'AMCOW :

✓ Lundi 14 octobre 2024, de 8h00 à 9h30, salle Louve 4 : la mise en place d'un système d'alerte précoce ;

✓ Mercredi 16 octobre 2024, de 9h30 à 11h00, salle Louve 3 :  la politique d’irrigation après Malabo : perspectives d'investissement ;

✓ Jeudi 17 octobre 2024, de 8h30 à 11h30, salle Vienna Hall : le dialogue hydrologique africain : Action pour l'eau, l'adaptation climatique et la résilience

Sessions organisées par WaterAid :

✓ Lundi 14 octobre 2024, de 9h30 à 11h00, salle Louve 3 :  WASH résilient au climat ;

✓ Mardi 15 octobre 2024, de 17h30 à 18h30, salle Louve 4 : Institutionnalisation du

premier exercice des comptes WASH au Niger : un pas vers la transparence et

l'efficacité.

o Session organisée par Speak Up Africa :

✓ Mardi 15 octobre 2024, de 14h à 15h30 : l'importance d'une approche collaborative afin d'accélérer les taux de couverture en assainissement en Afrique à l'horizon 2030.

Notez que la Semaine Africaine de l'Eau, qui a lieu tous les deux ans, est organisée conjointement par la Commission de l'Union Africaine (CUA), le secrétariat du Conseil des ministres africains de l'eau (AMCOW) et la Banque Africaine de Développement (BAD), avec le soutien de partenaires.

La section des Jeunes Professionnels de l'Eau et de l'Assainissement (JPEA) de la République Démocratique du Congo (RDC) a été activement impliquée dans l'initiation, l'organisation et le financement d'activités liées à l'eau et à l'assainissement afin d'avoir un impact positif sur leur communauté. Ces jeunes ont organisé cinq activités principales depuis le début de l'année 2024, dans le but de démontrer leur engagement envers les objectifs et les buts de l'Association Africaine de l'Eau et de l'Assainissement en encourageant la protection de l'environnement et des ressources en eau.

Les activités menées entre mars et juillet 2024 ont réuni plus de 100 jeunes. Elles se sont concentrées sur la collecte des déchets plastiques du lac Kivu afin de lutter contre la pollution, de permettre à l'écosystème du lac de prospérer et de promouvoir la croissance économique en soutenant la production de poissons.

A l'occasion de la célébration de la journée internationale de l'eau organisée le 22 mars de chaque année, les JPEA ont organisé une activité d'assainissement sur le lac Kivu le 23 mars 2024, en collaboration avec les parties prenantes du secteur dont entre EKOY MAJI, une société privée de distribution d'eau, le Lions Club, des pêcheurs, des clubs environnementaux d'étudiants et des activistes indépendants des ressources en eau.

Cette initiative visait non seulement à promouvoir la préservation de l'eau et de l'environnement, mais aussi à renforcer la coopération pacifique entre la RDC et les pays voisins avec lesquels le lac Kivu est partagé. Plus de 100 participants se sont réunis pour collecter des déchets autour du lac Kivu, tout en sensibilisant la population riveraine à l'importance de préserver cette ressource vitale. Équipés de gants, de masques et de sacs, les participants ont ratissé le lac et ses abords, collectant plus de 5 tonnes de déchets. 

L'impact de ces activités sur le lac Kivu est incontestable et très bénéfique pour la croissance des poissons. Les personnes vivant autour du lac ont été sensibilisées à ne pas jeter de déchets et se sont jointes aux participants pour nettoyer le lac.

« Nous nous sommes lancés dans une grande initiative visant à promouvoir la protection de nos ressources en eau, bien que nous ayons dû faire face à des défis importants au cours de son exécution. S'il était important d'éliminer les déchets plastiques du lac, nous avons également reconnu la nécessité de comprendre comment les gérer correctement. En tant que jeunes, nous avons compris l'importance du renforcement des capacités pour acquérir les connaissances et les compétences nécessaires à la réutilisation et au recyclage des déchets plastiques. Nous avons également réalisé l'importance de mettre en place un système pour éviter que les déchets n'atteignent le lac. Il s'agit notamment de mettre en place un réseau de poubelles pour les déchets organiques et plastiques dans les lieux publics, les marchés et les habitations, afin de traiter le problème à la source. La section RDC de YWSP a besoin de soutien pour atteindre ses objectifs. De plus, investir dans des industries de recyclage qui pourraient utiliser les déchets collectés leur donnerait de la valeur et réduirait la quantité de déchets jetés », a déclaré Serges Bashonga, le président de la section.

En plus de contribuer à la protection de l'environnement à long terme, les participants ont démontré leur engagement envers la protection de l'environnement et le développement durable. Ils ont décidé d'organiser de telles activités d'assainissement tous les derniers samedis du mois sur les rives du lac Kivu.

L’Association Africaine de l’Eau et de l’Assainissement (AAEA) et l’Institut Mondial pour la Croissance Verte (GGGI) ont signé un protocole d'accord d’une durée de trois ans visant à collaborer en vue de la mise en œuvre d'un programme régional de renforcement des capacités dans les domaines du changement climatique et de l'assainissement. L'événement s'est déroulé au siège de l'AAEA à Abidjan.

A travers ce partenariat, l’AAEA et GGGI s’engagent à développer et déployer un programme stratégique et novateur de renforcement des capacités, favorisant ainsi le partage des connaissances sur l’intégration de l’assainissement dans les politiques nationales de lutte contre le changement climatique, l’utilisation des outils d'évaluation des gaz à effet de serre (GES) et sur les technologies innovantes d'assainissement écologiques pouvant soutenir la transition de l'Afrique vers une économie à faible émission de carbone.

« Ce partenariat témoigne de notre engagement à doter les communautés, les décideurs et les experts des compétences, des savoirs et des outils nécessaires pour identifier et promouvoir des solutions pérennes aux défis climatiques auxquels l'Afrique est confrontée. Aux côtés du GGGI, nous nous engageons à œuvrer ensemble pour ouvrir la voie à des pratiques novatrices qui non seulement répondent aux défis liés au changement climatique, mais aussi qui améliorent les systèmes et pratiques d'assainissement et la gestion des déchets à travers tout le continent africain », a déclaré M. François Olivier Gosso, Directeur Exécutif d’AAEA.

« Ce partenariat promet de débloquer de nouvelles possibilités dans nos efforts conjoints pour lutter contre le changement climatique et promouvoir des systèmes d'assainissement durables et performants. Ensemble, nous traçons de nouvelles perspectives pour fournir des solutions innovantes en matière de climat et d'assainissement à nos membres, partenaires, leaders et communautés. Par ce partenariat, nous travaillerons également ensemble pour garantir l'accès aux connaissances critiques et aux outils nécessaires dont les communautés et les nations ont besoin pour assurer des systèmes d'assainissement résilients et réduire les émissions de GES. Nous veillerons tout particulièrement à aborder la question cruciale du financement climatique qui reste malheureusement actuellement limitée dans ce domaine », a noté Dr. Mallé Fofana, Directeur régional pour l'Afrique au GGGI.

La GGGI collabore avec ses pays membres et partenaires en Afrique afin de veiller à ce que les pays intègrent en priorité les émissions provenant du domaine d'assainissement dans leurs politiques et plans climatiques. A titre d’exemple, dans le cadre du projet « Promouvoir un assainissement inclusif à l'échelle des villes grâce à la résilience climatique en Afrique de l'Ouest », financé par la Fondation Bill et Melinda Gates, la GGGI accompagne les Etats pour mettre en place des systèmes aidant à réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) provenant du secteur de l'assainissement tout en améliorant les conditions de vie. Ce projet intègre l'assainissement dans la planification du développement durable au niveau national et régional, créant un environnement propice aux investissements et développement d'infrastructure durables et résilients, notamment par un meilleur accès au financement climatique, le développement de technologies de valorisation et le partage de connaissances régionales en Afrique.

L’AAEA, pour sa part, travaille avec les acteurs de l'eau et de l'assainissement à travers l'Afrique pour générer et faciliter l'accès aux outils, systèmes et connaissances nécessaires à la mise en place de systèmes d'assainissement efficaces et résilients au climat.

La collaboration entre GGGI et AAEA dans les domaines du changement climatique et de l'assainissement renforcera les efforts des pays pour réduire les émissions du secteur de l'assainissement tout en optimisant les systèmes de gestion des déchets, y compris par des pratiques d'économie circulaire.

 

Objectif de la formation 

  • Améliorer les capacités techniques des gestionnaires d’eau en milieu rural 

  • Acquérir les compétences nécessaires pour concevoir les mini-systèmes d’AEP adapté aux besoins spécifiques des communautés rurales 

  • Réaliser les études de faisabilité en évaluant les ressources disponibles, les besoins des utilisateurs et les contraintes environnementales 

  • Maitriser les techniques de construction appropriée pour les mini-systèmes d’AEP entenant compte des ressources locales disponibles

  • Acquérir les compétences pour la maintenance préventive des équipements 

  • Diagnostiquer et résoudre les problèmes techniques courants au mini-système d’AEP

Contenu de la formation 

Cliquez pour télécharger la brochure 

Inscrivez-vous 

Voir les autres formations

L'Association Africaine de l'Eau et de l'Assainissement (AAEA) porte à la connaissance de ses membres, de ses partenaires ainsi que de tous les acteurs du secteur de l’eau et de l’assainissement que ses 94es Assises se tiendront du 18 au 21 novembre 2024 à Kampala en Ouganda sous le thème « Technologies non conventionnelles et innovations comme accélérateurs de l’ODD6 en Afrique ».

Ces assises comprendront les travaux du Conseil Stratégique et Technologique du 18 au 20 ainsi qu’une réunion du Comité de Direction le 21 novembre.

Membres de l’AAEA, experts, décideurs, entreprises technologiques, régulateurs, alors que le continent africain demeure confronté à des défis importants pour garantir un accès universel à l'eau potable et à des services d'assainissement adéquats, ces Assises offriront une plateforme privilégiée pour explorer des solutions novatrices.

Retrouvons-nous tous à Kampala afin de contribuer ensemble à l’avancement des solutions durables pour l’eau et l’assainissement en Afrique.

Les inscriptions seront ouvertes très prochainement !

 Contexte

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La série de webinaires de Maji Africa adopte un format en ligne pour l'échange technique et les discussions sur les résultats de la recherche dans différents domaines thématiques liés aux solutions et innovations du secteur WASH en Afrique. La plateforme est dédiée aux chercheurs, innovateurs, étudiants, professeurs, consultants et autres présentateurs de webinaires.

C'est également une opportunité pour les chercheurs de l'AAEA de présenter leurs résultats devant un large public international, ainsi que pour ceux qui ont soumis leurs résumés pour le Congrès de l'AAEA, mais qui n'ont malheureusement pas pu y assister et les présenter.

Méthodologie

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La série de webinaires Maji Africa,  invite les chercheurs, les innovateurs, les étudiants, les professeurs, les consultants et tous les autres acteurs à partager les résultats de leurs recherches ainsi que de nouvelles idées et de nouveaux domaines de recherche pour résoudre les problèmes liés à l'eau en Afrique.

Pour chaque webinaire, l'appel à présentateurs (https://docs.google.com/forms/d/1EyBHoXYc77Y5-K2MttsV6rXp_WBqaFcDcdWFEZudsiU/edit) est envoyé aux membres de l'AAEA issus d'universités, de services publics, d'instituts de l'eau et de centres de recherche... Pour chaque session, deux ou trois présentateurs sélectionnés sont contactés pour préparer leurs diapositives. La sélection se fait en fonction des thèmes de recherche généraux fournis par l'Association. 

Le webinaire se déroulera dans la langue des présentateurs du mois (anglais ou français), l'interprétation simultanée étant assurée.

La série de webinaires est ouverte au public et les enregistrements ainsi que les présentations sont accessibles aux membres via la plateforme de gestion des  

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