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"Le Forum Mondial de l’Eau : La nécessité de passer des solutions aux réponses"
Le prochain Forum Mondial de l’Eau, co-organisé par le Conseil Mondial de l’Eau, l’Etat Sénégalais et la Ville de Dakar n’est pas un Forum de plus.
Au regard des difficultés profondes et multiples que le monde connait, il doit apporter des réponses sur les enjeux globaux de l’eau et de l’assainissement à la communauté internationale.
C’est notre devoir.
Il est désormais urgent d’apporter des réponses concrètes aux populations, de répondre à leurs besoins, car les solutions techniques sont disponibles et nous les connaissons. Les précédents Forums les ont mises en lumière.
Des milliards d’êtres humains nous regardent car ils savent aussi que ces solutions existent et l’information est désormais accessible par tous, très rapidement et en tous lieux.
Ce qu’attendent les Etats, les collectivités locales, les populations, ce sont des applications concrètes à leurs problèmes actuels et quotidiens. Non pas des recettes toutes faites mais des « bonnes pratiques », des exemples de projets réussis, des adaptations d’usage dans des contextes particuliers.
Dans chacun des quatre thèmes du Forum il y a matière à montrer ces réponses. En matière de financement, d’organisation politique et administrative, de coopération, de sécurisation de la ressource, d’initiatives locales, montrons les nombreux progrès qui ont été accomplis et mis en œuvre sur le terrain. Nous devons donner à voir, « décortiquer » les processus et les projets, analyser les avantages et les inconvénients, communiquer les résultats obtenus, en formulant des recommandations et en partageant notre expérience pour en faire profiter d’autres et leur faire gagner du temps.
Avec une attention toute particulière à la mise en œuvre urgente de réponses en milieu rural, car pour la première fois dans un Forum, ce thème a été identifié comme prioritaire.
Pour inverser la tendance mondiale annoncée de croissance incontrôlée des mégapoles, qui n’est pas inéluctable, et endiguer l’exode rural porteur de désertification, nos efforts collectifs devront porter sur l’amélioration concrète de l’accès à l’eau, à l’assainissement, à la santé, à l’alimentation et à l’éducation. Répondre à ces 5 besoins basiques de l’humanité sur un même territoire est possible, reproductible et adaptable dans bien des régions du monde.
Le 9ème Forum Mondial de l’Eau de Dakar est une opportunité unique de mettre en œuvre concrètement la solidarité internationale de la grande famille de l’eau, en partageant nos réponses pour l’avenir de l’humanité.
Loïc FAUCHON
Président du Conseil Mondial de l’Eau
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« Notre Association est au cœur de toutes les grandes actions visant le meilleur accès à l’eau et à l’assainissement sur le continent»
Au moment où l’Association Africaine de l’Eau se prépare à célébrer son 40ème anniversaire à Kampala en Ouganda, vous nous permettrez d’abord de rendre un vibrant hommage à ses membres fondateurs. Nous avons aussi une pensée pieuse pour ceux qui nous ont quitté au cours de notre longue marche.
Beaucoup d’eau a coulé sous les ponts, depuis cette journée ensoleillée de février 1980 à Abidjan, où des dirigeants visionnaires avec à leur tête le président Marcel ZADI KESSY de la Société de Distribution d’Eau de Côte d’Ivoire (SODECI), avaient porté sur les fonts baptismaux, l’Union Africaine des Distributeurs d’Eau, l’UADE. Ils avaient compris que pour développer le secteur de l’eau et de l’assainissement sur le continent, il fallait être solidaire et créer un cadre propice aux échanges d’expériences et de bonnes pratiques.
Nous avons eu l’honneur de diriger l’AAE de 2006 à 2012, et nous sommes fier de constater que nous sommes restés fidèles aux ambitions affichées dès le départ par les membres fondateurs, dans un contexte particulièrement difficile.
D’Abidjan en 1980 jusqu’à maintenant, beaucoup de réalisations importantes auront marqué cette belle aventure. De l’Union Africaine des Distributeurs d’Eau à l’Association Africaine de l’Eau, notre association est au cœur de toutes les grandes actions visant le meilleur accès à l’eau et à l’assainissement sur le continent. Cependant, aujourd’hui, nous sommes à la croisée des chemins. Pour mieux faire face aux défis du présent et du futur, en plus des actions pour l’amélioration de l’accès à l’eau potable et à l’assainissement, conformément à l’objectif 6 des ODD, nous devrions bien prendre en compte la menace que représente le réchauffement planétaire. Le monde se rapproche d’un point de basculement qui risque d’entrainer les pays les plus pauvres de la planète et leurs citoyens, dans une spirale infernale, laissant des centaines de millions de personnes confrontées à la malnutrition, au manque d’eau, aux menaces écologiques et à la perte de leurs moyens de subsistance.que ce grand rendez-vous sur les bords du lac victoria soit un jalon décisif, avec des propositions pratiques orientées vers l’action, des engagements forts et partagés pour aller encore plus loin dans notre croisade contre la pauvreté, et améliorer l’accès à l’eau et à l’assainissement, pour être au rendez-vous de 2035. C’est seulement ainsi que de Ouagadougou à Djibouti, de Nairobi à Casablanca, l’eau potable et l’assainissement seront pour les populations africaines une garantie d’une longue vie dans la dignité...
Mamadou DIA - Ex Président de l’AAE
Directeur Assainissement du Groupe Eranove
Vice Président du Conseil d’Administration de la SDE
Président de Aquafed
Les 82èmes assises du Conseil Scientifique et Technique (CST) et Exposition de l’Association Africaine de l’Eau se dérouleront du 29 juillet au 1er août 2019 à Addis Abeba en Ethiopie sur le thème :
"Gestion Autonome des Services d’Eau : Quels Leviers pour un accès Durable à l’Eau Potable pour Tous en Afrique"
L’AAE invite ses partenaires, membres affiliés, membres actifs, membres individuels, représentants des gouvernements et des municipalités africaines, ainsi que les entreprises du secteur de l’eau, de l’assainissement et de l’environnement, à marquer leurs agendas afin de participer à cette rencontre pour discuter des priorités stratégiques du secteur de l’eau en Afrique et à faire connaître leurs produits et services en participant à l’exposition.
ASSISTANCE
Direction Exécutive:
Personnes à contacter :
Mme Sannon K. Fofana : +225 09 50 02 09
Mlle Corine ASSIENIN : +225 07 46 10 39
SEJOUR
Monnaie locale utilisée en Ethiopie : Birr Ethiopien (Birr)
Les membres du CST prennent en charge leurs billets d’avion, les dépenses d’hôtel et de nourriture en dehors des déjeuners officiels ou diners prévus dans le programme du CST pendant le séjour.
Une lettre d’invitation vous sera envoyée après votre inscription pour vous permettre d’entreprendre les démarches d’obtention du visa auprès d’une représentation diplomatique du Maroc.
Vaccination
La Fièvre jaune est nécessaire
Température moyenne : 12 - 21°C
FRAIS DE VISA: 32USD / 28.58 Euros (Taux au 18 juin 2019)
Pour toute information sur l’obtention du visa d’entrée en Ethiopie veuillez consulter le lien suivant : https://www.evisa.gov.et/#/conference-visa
Hébergement
La liste des hotels est disponible, afin que vous puissiez faire votre propre réservation, vous aurez le contact de l'hôtel choisi après votre inscription. Cliquez ici sur le lien ci-dessous
«Les échos du congrès 2018»
LE NOUVEAU BUREAU DU CST/AAE SUR LES STARTING-BLOCKS
Au lendemain du Congrès de Bamako 2018, fort bien réussi, le CST adresse ses vives félicitations à toute l’équipe dédiée à l’organisation ainsi qu’à tout le peuple malien pour son « NDIATIGUIA » légendaire.
Ce congrès a coïncidé avec l’élection du nouveau bureau du CST répondant à la volonté, par le biais des élections, de la majeure partie des membres. Ainsi, le nouveau bureau sous la coordination de son président, durant les deux ans à venir animera la réflexion et mettra en œuvre les activités scientifiques associées. Aussi, le CST proposera, prochainement, une feuille de route (FdR) claire qui facilitera l’évaluation de toutes ses activités à l’heure du bilan.
Cette FdR s’inscrira dans la continuité, pour consolider des acquis et dispositions fixées à travers les deux précédents mandats. Durant ces derniers, (…) plusieurs assises se sont tenues et ont contribué au renforcement des principes fondamentaux de prise en charge des préoccupations des sociétés membres et fournisseurs. Des efforts restent à faire sur certains aspects certes ; ce qui justifie, en partie, les activités que le bureau du CST va proposer dans cette nouvelle FdR...
DR PAPA SAMBA DIOP, Président du CST/AAE
«Des technologies innovantes pour éradiquer les problèmes d’assainissement en Afrique»
Chers Amis, chers acteurs du secteur de l’assainissement, chers partenaires,
Les problèmes d’assainissement se posent avec acuité dans la plupart des pays de notre continent. Le rapport du Programme commun OMS/UNICEF de suivi intitulé « Progrès en matière d’assainissement et d’eau potable : mise à jour et évaluation des OMD », rapport 2015, affirme qu’un individu sur trois dans le monde, soit 2,4 milliards de personnes (dont près de 700 millions en Afrique subsaharienne), vit toujours sans installations sanitaires améliorées. Le manque d’infrastructures d’assainissement coûte près de 5,5 milliards de dollars par an à 18 pays africains (WSP, Banque mondiale, 2012).
C’est un secret de polichinelle : l’assainissement est le parent pauvre du secteur. « Celui à qui l’on donne peu quand l’essentiel va à la sécurisation de l’eau, au traitement et à la distribution de l’eau potable ». Pourtant l’assainissement, c’est la santé publique, c’est l’environnement.
Même si les défis sont grands, ils ne sont pas impossibles à relever. Ainsi, pour améliorer cette situation préoccupante, la Société DELVIC a pris une longueur d’avance. Dans le cadre d’un Partenariat Public Privé, DELVIC et l’ONAS (l’Office National de l’Assainissement du Sénégal) conjuguent leurs efforts pour exploiter des technologies innovantes qui font leurs preuves au Sénégal.
De la téléprospection, à la géolocalisation en passant par les toilettes réinventées, le compostage et enfin, la plus grande innovation, l’Omniprocessor, le pays ne lésine sur aucun moyen pour éradiquer les problèmes d’assainissement de son sol...
MADAME FAYE LENA TALL - PCA de DELVIC - PDG de Delta SA
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« Nous devons tirer profit du vivier de talents des sociétés d’eau africaines, et profiter du savoir des bonnes personnes»
Les assises du CST viennent de s’achever à Djibouti et cette fois-ci, elles se sont déroulées de façon différente et plus intéressante ; une nouvelle commission a été créée et sa mise en place permettra de réaliser les objectifs que nous nous sommes fixés pour les deux prochaines années. Nous disposons de plusieurs objectifs clairs, mais nous avons identifié environ 11 ; et chaque groupe a pu y contribuer grâce à la feuille de route que nous avons préparée. Au cours de ce CST, nous avons également réalisé que la façon dont nos travaux sont structurés, est perfectible. Il faudrait envisager la constitution de groupes de travail restreints, susceptibles de rendre les uns et les autres plus productifs, des groupes de travail qui réfléchissent sur les problèmes auxquels l’Afrique est confrontée. Par exemple, nous disposons déjà d’un groupe de travail sur l’Eau Non Facturée qui pourrait être renforcé. Nous pourrions ensuite choisir de renforcer le groupe de travail sur la qualité de l’eau. Nous pourrions également créer un groupe de travail sur les services en faveur des populations défavorisées.
En effet, nous constatons que les ODD mettent l’emphase sur les stratégies d’élargissement de l’accès à l’eau et à l’assainissement, et il faudrait peut-être accorder plus d’attention à de tels aspects. Si nous lions l’atteinte de nos objectifs aux séances de travail des commissions spécialisées uniquement, nous perdrons certainement notre dynamisme et l’impact que nous aurions pu avoir. Je pense que la mise en place des groupes de travail spécialisés, permettra d’accroître la participation des membres, au CST.
Certaines personnes ne viennent pas aux rencontres, mieux, les Directeurs Généraux des sociétés membres décident de ne pas envoyer plus de participants parce qu’ils n’en voient pas l’importance. Si vous faites un tour dans la salle, vous verrez très peu de spécialistes des finances, pourquoi ? Parce que dans les groupes de travail où ils interviennent, il est question du réseau des jeunes professionnels de l’eau, de réseau des femmes et peut être de la communication. Un spécialiste des finances peut donc à juste titre se poser des questions sur la raison de sa présence ici ; si tel était le cas, il ne reviendra pas aux prochaines assises. C’est pourquoi il faut trouver des sujets d’intérêt qui attirent ces différents spécialistes et les motivent à s’impliquer dans les travaux du CST. De cette sorte, nous pourrions être à mesure de résoudre davantage de problèmes du secteur et en dériver des bons projets à mettre en œuvre. Je pense que nous pouvons en débattre et réfléchir sur la faisabilité.
Toutefois, les travaux de groupe, au cours de ces dernières assises ont été plus précis et plus ciblés, et nous avons pu le constater par la qualité des rapports produits. Ce que nous nous efforçons à faire également, c’est d’avoir des livrables de bonne qualité.
Un autre point que je voulais souligner concerne le renforcement des capacités. Ce point est très souvent à l’ordre du jour de nos rencontres, nous organisons des formations dans des pays et des sociétés paient le déplacement de leurs employés pour y prendre part, nous 4 disons que nous avons formé tel nombre de personnes… mais cela ne résout pas vraiment le problème. Par exemple si nous avons des formateurs sur l’eau non facturée, nous devrions être à mesure d’élaborer un manuel de formation des formateurs car nous n’avons pas les ressources suffisantes pour que tous les pays africains envoient des auditeurs en formation. Mais si nous éditons un manuel de formation des formateurs et que nous le mettons à la disposition de nos membres, chaque société sera à même d’assurer elle-même la formation de son personnel.
Nous envisageons aussi de tels livrables pour les femmes. Si les réseaux de femmes professionnelles sont correctement formés et que nous prenons la peine d’observer le cadre de mise en place, il sera possible de bien le documenter et le partager avec d’autres personnes Ainsi, Nous pensons pouvoir produire de la valeur ajoutée que l’AAE pourra présenter à ses membres par le biais des groupes de travail.
Dans ce contexte, nous estimons pouvoir ajouter de la valeur à la proposition de l’AAE pour ses membres grâce aux groupes de travail, et ceux-ci pourront également tenir de petites rencontres tous les quatre mois par exemple. les produits de connaissance sont l’un des éléments clés de nos livrables au terme des deux années de notre mandat, et c’est cela même que nous pourrons présenter lors de la célébration du 40ème anniversaire de l’AAE, pour montrer tout le chemin parcouru et les résultats solides obtenus.
À mon avis, nous pourrions nous rendre beaucoup plus utiles. Nous pourrions ne pas avoir tout ce qu’il faut, mais attirer les bonnes personnes. Nous devons tirer profit du vivier de talents des sociétés d’eau africaines, et profiter du savoir des bonnes personnes. Nous avons besoin de personnes en mesure de faire bouger les choses au sein des sociétés d’eau, d’où l’intérêt de renforcer correctement les différents groupes de travail existant, afin qu’ils réfléchissent sur les problèmes rencontrés dans le secteur et proposent des solutions à implémenter avec l’appui de la science et de la technologie.
Dr ROSE KAGGWA - 2ème Présidente du CST
Les 81èmes assises du Conseil Scientifique et Technique (CST) et Exposition de l’Association Africaine de l’Eau se dérouleront du 1er au 5 avril 2019 à Rabat au Maroc sur le thème :
"Financement, Coopération et renforcement de Capacités, des leviers pour l’amélioration de l’accès aux services d’eau potable et d’assainissement en Afrique."
L’AAE invite ses partenaires, membres affiliés, membres actifs, membres individuels, représentants des gouvernements et des municipalités africaines, ainsi que les entreprises du secteur de l’eau, de l’assainissement et de l’environnement, à marquer leurs agendas afin de participer à cette rencontre pour discuter des priorités stratégiques du secteur de l’eau en Afrique et à faire connaître leurs produits et services en participant à l’exposition.
ASSISTANCE
Direction Exécutive:
Personnes à contacter :
Mme Sannon K. Fofana : +225 09 50 02 09
Mlle Corine ASSIENIN : +225 07 46 10 39
SEJOUR
Monnaie locale utilisée au Maroc : Dirham Marocain (MAD)
Les membres du CST prennent en charge leurs billets d’avion, les dépenses d’hôtel et de nourriture en dehors des déjeuners officiels ou diners prévus dans le programme du CST pendant le séjour.
Une lettre d’invitation vous sera envoyée après votre inscription pour vous permettre d’entreprendre les démarches d’obtention du visa auprès d’une représentation diplomatique du Maroc.
Vaccination
La vaccination n’est pas nécessaire
Température moyenne : 23°C
FRAIS DE VISA: 23USD / 20 Euros
Pour toute information sur l’obtention du visa d’entrée au Maroc veuillez consulter le lien suivant : https://www.aeroportdecasablanca.com/visa_maroc.php
01 Taxe de séjour : 19,80 DHS (02 USD) par personne et par nuitée.
Du 24 au 28 février 2020 se tiendra à Kampala en Ouganda, l’un des plus grands rendez-vous du secteur WASH en Afrique : le 20ème Congrès de l’Association Africaine de l’Eau. Ce congrès aura un caractère particulier car il marquera également le 40ème anniversaire d’existence de l’Association.
La cérémonie officielle de lancement de ce double événement aura lieu le vendredi 25 janvier 2019 à Kampala en Ouganda en présence des plus hautes autorités du pays et des membres de l’AAE. Ce sera l’occasion de présenter la feuille de route qui conduira vers la grande messe de février 2020, prélude au prochain forum mondial de l'eau qui se tiendra en 2021 à Dakar au Sénégal.
Explorer de nouvelles opportunités pour accélérer l’accès durable à l’eau et à l’assainissement est le thème retenu pour cette grande rencontre.
Visitez le site web du congrès :
Le Réseau des Femmes Professionnelles de l'Eau, de l'Assainissement et de l'Hygiène du Ghana ou WiWASH, s'est associé au Ghana Education Service, à la Ghana Water Company Limited et au programme Football for Water (F4W) pour célébrer la journée mondiale du lavage des mains le 15 octobre 2018 au Ashaiman Cluster Schools dans la région du Grand Accra. Le programme Football for WASH est axé sur la fourniture de services efficaces et durables, la promotion du changement de comportement et le développement d'un environnement propice à l'amélioration de l'école, de l'hygiène et de l'assainissement. L'un des principaux résultats escomptés de ce projet a été l'acquisition de 100 installations de lavage des mains offertes à des écoles et disposées à des endroits pratiques plus proches des élèves afin d'encourager le lavage des mains avec du savon sous l'eau courante à tout moment critique. WiWASH s'est associé aux bailleurs de fonds du programme pour aider à développer, renforcer la mise en œuvre et redynamiser le partenariat pour le développement du WASH scolaire au Ghana. Mme Faustina Boachie, présidente de WiWASH, dans son discours d'ouverture, a indiqué que la Ghana Water Company Limited (GWCL) s'est toujours jointe à plusieurs millions de personnes et organisations dans le monde pour célébrer la journée mondiale du lavage des mains et la raison est simple : « nous sommes convaincus que le moyen le plus sûr d’améliorer la santé en zone urbaine est de fournir à tous les habitants, y compris aux élèves, l'eau potable afin qu'ils puissent se laver les mains avec du savon et de l'eau courante, tout en maintenant leur environnement propre et sain. Nous maintenons notre engagement à l'égard de cette vision et de la prestation de services de qualité à tous nos clients ; en effet, le pouvoir d'être en bonne santé est entre nos mains, c'est pourquoi nous devons tous saisir cette occasion pour nous laver les mains correctement et encourager les autres à faire de même ». S’adressant aux autorités scolaires et aux enseignants, elle a plaidé pour une utilisation à bon escient des installations reçues ; puis elle a exhorté les élèves à se laver les mains avec du savon aux moments critiques, surtout après être allés aux toilettes et avant de manger.
Notons que le thème de l’édition 2018 du lavage des mains était " Des mains propres - Une recette pour la santé ". Ce thème met l'accent sur les liens entre le lavage des mains et l'alimentation, y compris l'hygiène alimentaire et la nutrition. Le lavage des mains est un élément important pour assurer la salubrité des aliments, prévenir les maladies et aider les enfants à grandir en bonne santé..