Langue
Login

Connexion à votre compte

Identifiant
Mot de passe
Maintenir la connexion active sur ce site

JME 2024 : Message du Directeur Général de la Société Malienne de patrimoine de l'Eau Potable

mardi 19 mars 2024
Vu 187 fois

La Journée Mondiale de l’Eau (JME), offre à l’ensemble des professionnels du secteur l’occasion de faire une rétrospective sur la problématique d’accès à l’eau potable dans nos pays et se projeter dans l’avenir pour relever des défis de plus en plus pressants face au changement climatique.

Cette année, l’événement est célébré sous le thème générique de « l’Eau pour la paix ». Cette thématique sied parfaitement à la volonté politique nationale en République du Mali. Il vise à attirer l’attention des plus hautes autorités, des acteurs du secteur et des populations sur l’importance de l’eau et la gestion durable des ressources en eau comme facteur de paix dans un contexte de changement climatique.

C’est dans cette dynamique que le Gouvernement de la République du Mali et ses partenaires stratégiques œuvrent inlassablement depuis quelques années à faire de l’eau un facteur de paix et de cohésion sociale en créant des projets et programmes hydrauliques dans les zones fortement affectées par la crise sécuritaire dans le pays.

L’une des initiatives du genre est le Projet d’accès à l’eau potable et à l’assainissement (AEPA), financé par la KFW pour un montant globale de 16 Milliards de FCFA au bénéfice de la ville de Tombouctou et environs.

La mise œuvre du projet durera 24 mois à compter de janvier 2024 et permettra de couvrir les besoins en eau de la ville de Tombouctou jusqu’à l’horizon 2040. Ce qui aura comme impact à court et moyen terme de circonscrire le stress hydrique et apaisé le climat social dans la région de Tombouctou.

Outre ce projet, le Gouvernement de la République est engagé dans un vaste programme hydraulique qui bénéficie à l’ensemble du pays. Logique dans un pays où l’accès à l’eau potable s’inscrit même dans la sagesse culturelle. « Aman, iman » : l’eau c’est la vie, disent les tamasheq.

Search